Monday, July 30, 2007

A-t-elle l'ONU aucune crédibilité?

Avec le rejet de la tentative de Taïwan de devenir membre de l'ONU, on peux se demander si l'ONU a aucune crédibilité. Quoique les états cruels comme le Corée du Nord sont les membres en pleine, et un pays comme le Zimbabwe a pris la présidence du comité pour développement durable de l'ONU, une démocratie vivante comme Taïwan qui respecte les droits de l'homme et la liberté de ses citoyens est traité comme un paria par l'ONU.

La charte des Nations Unies dit, que un but de, l'ONU est pour "développer entre les nations des relations amicales fondées sur le respect du principe de l'égalité de droits des peuples et de leur droit à disposer d'eux-mêmes." Mais l'ONU elle-même ne suit pas sa charte propre. On doit se demander que si l'ONU ne veut pas soutenir la démocratie, la liberté, et les droits de l'homme, pourquoi existe-elle encore?

Thursday, July 19, 2007

FAPA Europa verurteilt die ablehnende Haltung der EU gegenüber der Demokratie

Zur sofortigen Veröffentlichung

Donnerstag, 19. Juli 2007, Freiburg, Deutschland – Der Formosa Verein für Öffentlichkeitsarbeit (FAPA Europa) hat die Europäische Union dafür verurteilt, ein in Taiwan geplantes demokratisches Referendum kritisiert zu haben. Einem Bericht der britischen Zeitschrift „Economist“ zufolge beabsichtigt die EU, Taiwan eine Warnung mit dem Hinweis zukommen zu lassen, ein Referendum in Verbindung mit den kommenden Präsidentschaftswahlen im Jahr 2008 sei „nicht hilfreich“. Ebenfalls heisst es, Chinesische Diplomaten sollen die EU zu diesem Schritt gedrängt haben.

„Es ist traurig und enttäuschend zugleich, zu sehen, dass die EU dazu bereit ist, sich der Chinesischen Diktatur zu unterwerfen und seine fundamentalen Wertvorstellungen der Demokratie und Freiheit dabei über Bord zu werfen.“ meinte Dr. Stan Lai, Pressesprecher von FAPA Europa. „Viele EU-Staaten machen Gebrauch von demokratischen Referenda, wieso also wird Taiwan kritisiert, wenn es dasselbe macht? Grenzt dies nicht an Heuchelei von Seiten der EU?“

Derzeit wird das demokratische Taiwan von 1000 Raketen, aufgestellt von der Volksrepublik China, bedroht. Obwohl Umfragen ergaben, dass eine gewaltige Mehrheit an Taiwanern eine Wiedervereinigung mit China ablehnt, besteht die Chinesische Regierung darauf, Taiwan weiterhin von der Internationalen Gemeinschaft zu isolieren. Die EU hat sich dazu entschlossen, dem Druck Chinas nachzugeben und Taiwan zu tadeln.

„Wenn der EU Menschenrechte und demokratische Entwicklungen etwas bedeuten, muss es Abstand von der Chinesischen Diktatur nehmen und Taiwans Demokratie unterstützen.“ fuhr Lai fort. „Sollte die EU-Politik nicht eher von Europäischen Werten als von Peking aus gesteuert werden?“

„Europäische Politiker müssen erkennen, dass die höchste Ebene internationaler Übereinkunft in Bezug auf den Status Taiwans auf dem Friedensvertrag von San Francisco beruht, und entsprechend dieses Vertrages hat China keinen Anspruch auf Taiwan“ erklärte Alison Hsieh, Forscherin für FAPA Europa. „Die EU muss das Recht auf Selbstbestimmung, wie es in der Verfassung der UN vorgeschrieben ist, respektieren.“

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Über FAPA Europa:
FAPA Europa ist eine europäische Organisation die europäisch-taiwanesische Beziehungen fördert und das Recht Taiwans auf Selbstbestimmung unterstützt.

L'AFAP Europe critique l'UE pour son refus de soutenir la démocratie

Pour diffusion immédiate

Jeudi, le 19 Juillet 2007, Fribourg, Allemagne - L'Association Formosane pour les Affaires Publiques (L'AFAP Europe) a critiqué le refus par l'Union Européenne de soutenir un référendum projeté qui sera tenu à Taïwan l'année prochaine. Selon un reportage de l'Economist, l'UE en train de rediger un avertissement, qui dira qu'un référendum démocratique à Taïwan ne serait pas utile. Le même reportage a expliqué que diplomates de la Chine ont fait la pression sur l'UE pour qu'elle s'oppose ce référendum.

"Il est vraiment triste et décevant que l'UE est disposé à dénoncer ses valeurs de démocratie et de liberté en s'inclinant devant la dictature chinoise," a remarqué Dr. Stan Lai, porte-parole pour l'AFAP Europe. "Si plusieurs états de l'UE ont eux-mêmes tenu des référendums, pourquoi veulent-ils empêcher Taïwan de faire la même chose? Ne revèlent-ils pas la hypocrise de l'UE par leur propos?"

Taïwan, une nation démocratique est menacé par plus de 1000 missiles qui sont déployés par la Chine. Même si les sondages sur Taïwan indiquent que la grande plupart de taïwanais rejette l'idée d'unification de la Chine, le gouvernement de la Chine s'obstine à isoler Taïwan de la communauté internationale. L'UE a choisi de s'incliner devant la Chine en brimant les droits de Taïwan.

"Si l'UE se sent concerné par le respect des droits de l'homme ou par la progression démocratique, il faut qu'elle arrêt sa complaisance politique avec la Chine, et commence à soutenir les droits de Taïwan," a ajouté Lai. "La politique étrangère de l'UE ne devrait-t-elle pas être construite d'après les valeurs européennes plutôt que être dictée par Pékin?"

"Les législateurs européens doivent reconnaître que, dans la situation actuelle, en ce qui concerne le statut légal de Taïwan, seul le Traité de Paix de San Francisco prévaut sur tout le reste. Et selon ce traité, la Chine n'a aucun droit légal pour réclamer Taïwan comme un territoire qui leur appartient", a indiqué Alison Hsieh, rechercheuse avancé à l'AFAP Europe. "L'Europe devrait respecter le droit à l'autodétermination comme il a été stipulé dans la charte des Nations Unis".

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À propos de l'AFAP Europe:
L'AFAP Europe est une organisation européenne qui promouvoit les rélations européennes-taiwanaises et soutient la souverainété et le droit d'autodétermination de Taïwan.

Sunday, July 15, 2007

20 years of freedom at risk

On July 15, Taiwan will commemorate the 20 year anniversary of the lifting of martial law. For many Taiwanese, the 38-year period of martial law imposed by the Kuomintang regime represents a sad, painful era in Taiwanese history. Freedom of speech and expression was strictly curtailed, the media was tightly controlled by the government, while local culture was systemically oppressed. Political dissidents who spoke up for democratic reforms and increased autonomy were ruthlessly persecuted by the island's dictatorial government.

The times have changed drastically since the removal of martial law in 1987. Taiwan is arguably the most vibrant democracy in East Asia, a fact recognized by reputable organisations such as Freedom House and Human Rights Watch. The press in Taiwan enjoys an unprecedented amount of freedom, and Taiwanese citizens are able to participate directly in regular elections and referenda. Local culture and language has undergone a recent revival, after a long period of suppression.

Such drastic improvements were not easy to achieve. Democracy activists in the 1970's and 1980's risked their own livelihoods to speak out for political reforms and social justice. Some of these advocates and their families were harassed, while others were imprisoned indefinitely for sedition. In fact it was the illegal formation of the Democratic Progressive Party by political activists that was key in pressuring the government into lifting martial law a year later.

Enjoying the progress achieved on Taiwan in these last 20 years, it suffices to say that the Taiwanese cherish their hard-won freedoms and home-built democracy. They know first hand the sacrifices that were made to transform their country from a brutal dictatorship to a fledgling democracy. There is no desire for them to return to the dark days of martial law style dictatorship.

However, the democracy that the Taiwanese have built is under siege from China's military threats. The Chinese government refuses to recognize the success of Taiwan's democracy, nor the vast majority of Taiwanese that reject the idea of unification with China. After overcoming the harsh rule of the Japanese empire and Chinese nationalists in the 20th century, the Taiwanese people do not want to be ruled by the Chinese communist dictatorship that regularly commits human rights atrocities.

Unfortunately, nations which pay lip service to the values of human rights and democracy are too afraid to oppose China's expansionist rhetoric. In their bid to appease the growing power that China represents, they are quick to oppose any moves towards independence by Taiwan, but all too slow to condemn the fast increasing number of missiles that China points at Taiwan. While such nations support the independence of Kosovo and East Timor, they are unable to recognize the right of the Taiwanese people to determine the fate of their island nation.

The 20 year anniversary of the lifting of martial law will be celebrated on Taiwan as a triumph of democracy and freedom over oppression and tyranny. But such a victory stands incomplete so long as nations refuse to recognize the right of the Taiwanese people to safeguard their democracy from Chinese aggression.

Dr. Stan Lai, Spokesperson,

FAPA Europe

Sunday, July 08, 2007

Une nouvelle politique étrangère pour la France?

Le président de la France, Nicolas Sarkozy, a fait campagne avec une promesse qu'il va changer les politiques du passé. Ceux qui lui ont choisi éspère qu'il peut réformer la bureaucratie française, et revitaliser l'économie stagnante de la France. Mais pour les activistes de la démocratie et des droits de l'homme, ils éspèrent que Sarkozy peut exprimer une politique étrangère qui est très differente que son prédécesseur, Jacques Chirac.

France estime qu'elle-même est une modèle démocratique qui est un exemple pour les autres nations. Mais la politique étrangère de Jacques Chirac pendant sa période de jouissance crée doute pour le légs de la France. L'amitié de Chirac avec les dictateurs africains a été critiqué par Sarkozy, et aussi par la candidate socialiste, Ségolène Royal. La plupart de l'aide étrangère de la France en Afrique est arrivée finalement dans les mains des autocrates corrompu, au lieu des citoyens africains qui souffrent de la pauvrété.

Cet amitié était la plus évidente pendent le sommet franco-africain en 2003, quand Chirac a invité Robert Mugabe de Zimbabwe avec bienvenue, en dépit de l'interdire de la France sur les officiels zimbabwéan dans l'UE, pour les viols atroces des droits de l'homme et les éléctions truqués.

Les activistes étaient déçus en 2005, quand Chirac a voulu la termination de l'embargo de l'UE sur les armes en Chine, qui était imposé en 1989 après la massacre de Tiananmen Square. La proposition de Chirac a évoqué beaucoup l'opposition forte des autres états européenne, les États-Unis, le Japon, et les associations des droits de l'homme. La position de Chirac était très absurdes, parce que la Chine n'a pas renoncé l'emploi de la force contre Taïwan, ni la Chine s'a amélioré la situation concernant les droits de l'homme non plus.

Chirac a critiqué Taïwan, une démocratie qui soutient les libertés et les droits fondamentaux de ses citoyens, quand le gouvernment élu de Taïwan a exécuté un référendum, qui était important pour consolider la démocratie. Ce référendum a été critiqué par Chirac en 2004, comme une erreur grave, pendant une visite d'état par le président de la Chine, Hu Jintao. Ces actions de la France, ont abîmé la crédibilité de la France dans le monde.

Sarkozy a maintenant une occasion magnifique, de transformer la politique étrangère de la France, pour que la France soutient la diffusion de la démocratie et les droits fondamentaux de tous les peuples. Il peut commencer à rediriger l'aide étrangère de la France aux pays qui n'ont pas corruption répandue, et qui ont les gouvernments élus. Il peut lancer les actions concrètes dans l'ONU pour aider à terminer le génocide en Darfour.

Sarkozy peut employer l'influence de la France à la Chine, pour que la Chine renonce l'utilisation de la force contre Taïwan, respecte l'autonomie du Tibet, et termine l'oppression des dissidents politiques. Il devrait soutenir l'inclusion de Taïwan dans les organisations internationales, comme l'OMS.

Lorque Sarkozy a été élu, il a dit, "Je veux lancer un appel à tous ceux qui, dans le monde, croient aux valeurs de la tolérance, de la liberté, de la démocratie, de l'humanisme. A tous ceux qui sont persécutées par les tyrannies et par les dictatures, je veux leur dire qu la fierté et le devoir de la France sera d'être à leurs côtés." Ces mots sont bienvenus dans notre monde qui a besoin de la direction des droits de l'homme forte. Le monde entière le regarder, si ses mots deviennent vrais.

A New Foreign Policy for France?

French president Nicolas Sarkozy campaigned on a clear pledge to break with the policies of the past. Those that voted for him hope that he can reform France's bureaucracy, and kickstart the stagnating French economy. But for democracy and human rights activists throughout the world, there is hope that Sarkozy can articulate a foreign policy that is vastly different from that of his predecessor, Jacques Chirac.

France has long prided itself in being a model democracy that is an example for other nations to follow. But Chirac's foreign policy during his 12 year tenure has left this reputation in doubt. Chirac's friendships with African dictators have been criticized heavily both by Sarkozy and socialist presidential candidate, Segolene Royal. The bulk of France's foreign aid to Africa has ended up in the hands of corrupt autocrats, rather than helping alleviate the poverty of ordinary African citizens.

Chirac's coddling of corrupt dictators was most apparent during the 2003 Franco-African summit, when he welcomed Robert Mugabe of Zimbabwe with open arms, despite an EU travel ban on Zimbabwean officials for atrocious human rights violations and rigged elections.

Human rights advocates were disappointed again in 2005, when Chirac pushed for an end to the EU arms embargo against China imposed in 1989 after the Tiananmen Square massacre. Chirac's proposal evoked strong opposition from other EU states, the US, Japan, and human rights groups. His stance was particularly perplexing as China had neither renounced the use of force against Taiwan, nor improved its human rights situation.

In addition, Chirac went out of his way to chastise democratic Taiwan for holding a referendum initiated by its elected government. The referendum, which was seen as key to consolidating democracy on Taiwan, was labelled a "grave error" by Chirac during a state visit to Paris by Chinese President Hu Jintao in 2004. Such willingness to align himself with these dubious dictatorships has damaged much of France's credibility.

Sarkozy, however, has an excellent opportunity transform France's foreign policy such that France is supportive of democratic development on the international stage, positioning itself as a steadfast advocate for the liberty and human rights of all peoples. He can start by redirecting foreign aid to African nations that do not suffer from rampant corruption and whose governments are elected by democratic mechanisms. He can also push concrete measures at the UN to help end the genocide in the Darfur region.

Sarkozy can also use France's influence to press China to renounce the use of force against Taiwan, to respect Tibetan autonomy, and to stop the ruthless persecution of political dissidents. He should push the EU to support Taiwan's inclusion to the World Health Organization, so that the island's 23 million citizens are involved in the international fight against epidemic spread and disease prevention.

In his acceptance speech, Sarkozy declared, "I want to launch an appeal to all those in the world who believe in the values of tolerance, freedom, democracy, humanism. To all those who are persecuted by tyranny and dictatorship, I want to say that the pride and the duty of France will be to be on their side." Such words are welcome in a world in need of strong human rights leadership. The entire world will be watching to see whether Sarkozy remains true to his promise.