Le président de la France, Nicolas Sarkozy, a fait campagne avec une promesse qu'il va changer les politiques du passé. Ceux qui lui ont choisi éspère qu'il peut réformer la bureaucratie française, et revitaliser l'économie stagnante de la France. Mais pour les activistes de la démocratie et des droits de l'homme, ils éspèrent que Sarkozy peut exprimer une politique étrangère qui est très differente que son prédécesseur, Jacques Chirac.
France estime qu'elle-même est une modèle démocratique qui est un exemple pour les autres nations. Mais la politique étrangère de Jacques Chirac pendant sa période de jouissance crée doute pour le légs de la France. L'amitié de Chirac avec les dictateurs africains a été critiqué par Sarkozy, et aussi par la candidate socialiste, Ségolène Royal. La plupart de l'aide étrangère de la France en Afrique est arrivée finalement dans les mains des autocrates corrompu, au lieu des citoyens africains qui souffrent de la pauvrété.
Cet amitié était la plus évidente pendent le sommet franco-africain en 2003, quand Chirac a invité Robert Mugabe de Zimbabwe avec bienvenue, en dépit de l'interdire de la France sur les officiels zimbabwéan dans l'UE, pour les viols atroces des droits de l'homme et les éléctions truqués.
Les activistes étaient déçus en 2005, quand Chirac a voulu la termination de l'embargo de l'UE sur les armes en Chine, qui était imposé en 1989 après la massacre de Tiananmen Square. La proposition de Chirac a évoqué beaucoup l'opposition forte des autres états européenne, les États-Unis, le Japon, et les associations des droits de l'homme. La position de Chirac était très absurdes, parce que la Chine n'a pas renoncé l'emploi de la force contre Taïwan, ni la Chine s'a amélioré la situation concernant les droits de l'homme non plus.
Chirac a critiqué Taïwan, une démocratie qui soutient les libertés et les droits fondamentaux de ses citoyens, quand le gouvernment élu de Taïwan a exécuté un référendum, qui était important pour consolider la démocratie. Ce référendum a été critiqué par Chirac en 2004, comme une erreur grave, pendant une visite d'état par le président de la Chine, Hu Jintao. Ces actions de la France, ont abîmé la crédibilité de la France dans le monde.
Sarkozy a maintenant une occasion magnifique, de transformer la politique étrangère de la France, pour que la France soutient la diffusion de la démocratie et les droits fondamentaux de tous les peuples. Il peut commencer à rediriger l'aide étrangère de la France aux pays qui n'ont pas corruption répandue, et qui ont les gouvernments élus. Il peut lancer les actions concrètes dans l'ONU pour aider à terminer le génocide en Darfour.
Sarkozy peut employer l'influence de la France à la Chine, pour que la Chine renonce l'utilisation de la force contre Taïwan, respecte l'autonomie du Tibet, et termine l'oppression des dissidents politiques. Il devrait soutenir l'inclusion de Taïwan dans les organisations internationales, comme l'OMS.
Lorque Sarkozy a été élu, il a dit, "Je veux lancer un appel à tous ceux qui, dans le monde, croient aux valeurs de la tolérance, de la liberté, de la démocratie, de l'humanisme. A tous ceux qui sont persécutées par les tyrannies et par les dictatures, je veux leur dire qu la fierté et le devoir de la France sera d'être à leurs côtés." Ces mots sont bienvenus dans notre monde qui a besoin de la direction des droits de l'homme forte. Le monde entière le regarder, si ses mots deviennent vrais.